Electro-vigueur du Dr. MacLaughlin.

LELECTRO-VIGDEUR ARRÊTE LES PERTES SÉMINALES L’un des plus remarquables effets de l’électricité dans les faiblesses séminales est la notable diminution des pertes sémi¬ nales involontaires. Cela s’explique par sa propriété bien connue de produire une contraction fortifiante des nerfs et des muscles. Si une personne prend dans ses mains les électrodes d’une ma¬ chine électro-magnétique, les muscles des bras sont immédiate¬ ment et visiblement contractés. Il est raisonnable de supposer que, quand elle est appliquée aux organes générateurs à travers le périnée, ses effets sur les muscles et sur les nerfs de ces organes, quoique à peine visibles, sont semblables à ceux qu’elle produit sur les mains. La SCS CIÎGtS contraction est l’énergie tonique et forti- j |oïljlfUf^S fiante qui vivifie les organes. Dans la fai- ‘ ' blesse séminale, avec émissions (à la fois 6t VivilicintS. nocturnes et diurnes), les muscles des vais¬ seaux séminaux et du col de la vessie sont relâchés et faibles. Le fluide s’échappe aisément, ces muscles délicats ne se contrac¬ tant pas pour le retenir. Ce dont ils ont vraiment besoin, c’est de ton, de force et de contraction ; c’est donc vraiment l’électricité qu’il leur faut, puisqu’elle produit immédiatement cette contrac¬ tion. Un renouvellement quotidien de l’application électrique les rendra bientôt suffisamment forts et vigoureux pour qu’on puisse se dispenser d’en faire usage. Le même trouble existe dans l’excitation morbide des organes, dans les émissions prématurées durant les rapports sexuels, l’im¬ puissance ou la perte du pouvoir d’érection. Les nerfs et les vaisseaux sont faibles et irritables; l’irritabilité est toujours ame¬ née par la faiblesse. Le courant électrique les tend, rend égale la circulation, et guéritainsi en renouvelant toutes les forces perdues. Dans l’impuissance et la perte de vigueur, etc., l’électricité est l’un des moyens les plus dignes de confiance que l’homme con¬ naisse pour augmenter la sécrétion du fluide spermatique et res¬ taurer la vigueur. Dans ce cas, le courant négatif est préférable pour une application locale. Les organes ne sont pas trop exci¬ tables; au contraire, ils ont perdu le pouvoir de répondre à l’exci¬ tation ; ils sont froids et léthargiques ; le désir peut être fort, mais la puissance rnanaue.