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monotonie qui n'est distraite que par un
faible changement dans la localisation du
mal ou dans l’intensité de la souffrance, qui
défie la puissance descriptive du langage.
Dans quelques cas, une constitution naturel¬
lement vigoureuse, aidée par de bons soins,
en sort victorieuse. Dans d’autres cas, les
articulations ne fonctionnent plus, les mem¬
bres sont hors d’usage, les muscles sont
paralysés et l’homme entier est déformé; de ce que le malade fut
jadis, il ne reste qu’une ruine comme preuve de la puissance des¬
tructive du Rhumatisme. D’autres encore, plus favorisés que ces
derniers, trouvent un heureux soulagement dans la mort.
La littérature médicale contient des volumes sur ce sujet.
Nous sommes inondés par un flot de théories subtiles et d’ar¬
guties, mais pendant que l’on cause, que l’on écrit, que l’on
analyse, que l’on discute des théories, la maladie suit son cours
ininterrompu.
Les
articulations
se nouent et
les tissus
se gonflent.
Comment le
Rhumatisme
est guéri
aisément par
l'électricité.
Les « comment » et les « pourquoi » du
succès de l’électricité demanderaient plus
d’espace qu’il ne nous est possible d’en
disposer et peu de personnes s’y intéresse¬
raient. Dans cette trop courte vie, ce que
les hommes et les femmes qui ont peu de
loisirs ont besoin de savoir, ce sont les faits.
Ceci soit dit, bien entendu, sans intention de
blâmer ceux qui ont le temps et la passion de rechercher les
causes. Mais nous avons maintenant un but définitif, qui est
de porter à la connaissance des rhumatisants un remède qui a été
éprouvé dans des vingtaines, des centaines et des milliers de cas
semblables, et qui a, dans tous ces cas graves, — épreuves de
dernière ressource, — triomphé du mal, à la profonde reconnais¬
sance de tous les malades guéris.
L’électricité, telle qu’elle est produite parl’Électro-Vigueur
du Docteur MACLAUGHLÏN, est un tonique, un stimulant et
un régulateur de la circulation; elle fournit et régularise l’énergie
nerveuse, et, quand les organes deviennent inactifs, son applica¬
tion les réveille et les stimule ; elle améliore la circulation et rend
les glandes d’excrétion et de sécrétion capables d’accomplir leurs
fonctions naturelles. Elle donne aux reins — qui, parleur mauvais
fonctionnement, permettent à l’acide urique destructeur de se