Electro-vigueur du Dr. MacLaughlin.

Les peuvent stimuler mais guérissent rarement. cinales et autres panacées universelles annon- cées à grand bruit, si elles ne sont pas nui- médicaments sibles à l’estomac qui les absorbe, n’ont, en général, aucun pouvoir pour atteindre et pour agir sur un ensemble de délicats et sensibles nerfs et tissusanormalementaffaiblis et malades. Ces nerfs, vaisseaux, glandes, vésicules, etc., nécessitent, par leur nature même, les soins et le traitement les plus dé¬ licats. Les drogues médicinales peuvent d’abord stimuler temporairement le système nerveux, mais elles finissent toujours par déranger les fonctions digestives et augmentent les indigestions et la constipation en produisant un embarras du foie, des reins et de la vessie; ce qui cause une réaction qui active la déperdition involontaire et incons¬ ciente, et aggrave ainsi les symptômes morbides en rendant la guérison radicale moins aisée et moins rapide. — On ne peut atteindre directement les organes affaiblis et arriver rapidement à les rendre vigoureux qu’en faisant traverser les centres nerveux du corps par un doux, con¬ stant, calmant et fortifiant courant bien dosé d’électricité galvanique et magnétique: seule, l’Electro-Vigueur du Docteur MAC- LAUGHLIN,avecson suspensoir électrique, remplit toutes les conditions voulues pour réussir. La première chose à faire dans les cas de faiblesse séminale ou vitale, de débilité nerveuse ou d’impuissance, c’est d’arrêter cette déperdition contre nature ou perte de vitalité. Les drogues médicinales et les panacées annoncées dans les journaux peuvent rarement produire un bon effet, alors même qu’elles possèdent des propriétés toniques, car la temporaire excitation qu’elles produisent est détruite par Vinflammation qu’elles occasionnent dans les intestins, augmentant les pertes sur le vase quand le malade urine et inconsciemment pendant le sommeil que trouble l’indigestion. D’autre part, si la drogue est purgative, le résultat est à peu près le même, car tout ce qui a tendance à troubler violemment les fondions normales des intes¬ tins, du foie ou des reins contribue à aggraver les pertes involontaires. En pareil cas, les malades, au lieu de trouver dans leur traite¬ ment l’amélioration attendue et espérée, voient, au bout d’un La Nature prescrit l’emploi de l’électricité.