Electro-vigueur du Dr. MacLaughlin.

PUIS-JE ME GUÉRIR MOI-MÊME? l Electro-Vigueur guérit-il? — Nous répondrons le plus honnêtement et le plus franchement: Oui ! Nous parlons d après notieexpérience personnelle et les témoignages de milliers de malades guéris. Si vous voyiez les lettres que nous recevons et les personnes qui viennent elles-mêmes à nos divers bureaux des Etats-Unis et dans nos succursales européennes, et que vous lisiez et entendiez ce qu’elles disent, vous seriez encore plus élogieux en disant que nos appareils font plus que nous ne le déclarons. Lisez les témoignages que nous vous envoyons avec ce livre et remarquez les merveilleux rapports R ' de douzaines de malades qui ont quitté leur lit tlepOllSe en quelques heures, après avoir souffert pen- CRJGlCfllBS dant des mois et même pendant des années, et aussi la grande quantité de malades questions. guéris par nous après avoir été condamnés par leurs médecins et par leurs amis, QüjELQU un pourra-t-il savoir que je porte un appareil ? Nous répondons : « Non, à moins que vous ne le disiez. » On peut le porter à toute heure sans le plus léger inconvénient, sans la moindre gêne et pendant n’importe quel travail, ii s adapte exactement et ne peut être aperçu à travers les vêtements, si serrés et si collants qu’ils puissent être. Combien de iemps faut-il pour guérir?—On nous demande souvent combien il faut de temps pour guérir. Nous pouvons seulement dire que cela dépend de la nature et de l’ancienneté de la faiblesse ou de la maladie. Les cas ordinaires sont guéris en un ou deux mois; les cas très graves deman¬ dent deux ou trois mois; et dans quel¬ ques cas nous avons dû employer nos appa¬ reils pendant six mois. Mais alors c’étaient des cas extrêmement graves. Dans les cas ordinaires on emploie l’appa¬ reil moyen; dans les cas anciens ou chro¬ niques, l’appareil de puissance supérieure. Mais, en faisant la commande, il faut tou¬ jours nous envoyer une courte description de votre maladie, car notre consultation est ^\\\ souvent aussi importante que l’appareil et L nous désirons traiter nos malades i d’une seule façon, qui est la bonne.