Electro-vigueur du Dr. MacLaughlin.

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> La meilleure façon de décrire le système nerveux est de le comparer à une immense machine électrique dont l’épine dor¬ sale est le siège et d’où des milliers de nerfs conduisent à toutes les parties du corps le système de fils destinés par la Nature à conduire la puissance électrique à travers le mécanisme compliqué du corps. Les nerfs sont les canaux au moyen desquels chaque organe vital fait dériver son énergie électrique, — force qui est nécessaire pour conserver l’action vitale en bon état de santé. Chaque artère, chaque veine, — quelque insignifiante qu’elle puisse paraître, — chaque glande et chaque tissu de l’anatomie humaine sont entourés L©S nerfs d’un délicat réseau de nerfs qui transpor¬ tent dans leurs tubes élastiques un frisson COIl.UUISOllt lîl de vie électrique qui leur donne le pouvoir r. d’agir, les rend sensibles à la puissance de ^ ^ P4®® ' la volonté et à la sympathique influence du cerveau. Le centre principal est l’épine dorsale, et naturellement la santé de toutes les parties du corps dépend de la possibilité où celle-ci se trouve de fournir une énergie suffisante pour permettre au mé¬ canisme humain de marcher. Si la source est tarie, l’action vitale s’affaiblit. Aussi longtemps que la source four¬ nit assez de vie électrique pour donner aux nerfs ce qu’ils demandent, le corps est et doit être dans un parfait état de santé. Au moment où elle cesse de le faire, les organes du corps se ralentissent, comme les pièces d’une machine lorsque la force manque, et, si la pénurie con¬ tinue, les autres organes suivent les premiers jusqu’à ce que, la source ne se revivifiant plus, chaque partie vitale du corps montre une disposition à cesser le iravail. Alors apparaît la merveilleuse influence du traitement électrique. Le