Electro-vigueur du Dr. MacLaughlin.

63/84

(debug: view other mode)

The image contains the following text:

LA FORCE DE VITALITÉ A DIVERS AGES Force active, force (le réserve et force perdue. Il est presque universellement admis par ceux qui ont appro¬ fondi la question, que le corps humain atteint le maximum de son développement à l’âge de trente ans. A cette époque, si les hommes ne se sont pas avariés ou n’ont pas abusé de la vie et ont atteint leur force naturelle, le corps produit par ses propres moyens physiques assez de force électrique naturelle pour donner l’élan du travail à toute la machine, afin de produire, à volonté, une quantité limitée deforce supplémentaire pour rempla¬ cer la perte variable qui peut provenir d’une cause quelconque. Le corps produit donc alors de la force active, de la force de réserve et de la force perdue, et ces forces, dans les circonstances ordinaires, sont suffisantes pour maintenir l’organisme parfait, en bon état. Tant de force active donne au corps le pouvoir d’effectuer tant de travail ; tant de force de réserve lui permet de faire une quan¬ tité supplémentaire de travail en cas de nécessité ; tant de force perdue, ou de remplacement, le met en état de résister aux acci¬ dents imprévus, sans empiéter sur la quantité qui est nécessaire pour toujours permettre au cœur de battre, à la poitrine de respi¬ rer, aux glandes de sécréter, aux appareils digestifs de digérer, et au cerveau de com¬ prendre ou de penser. Si nous usons trop longtemps de force active par un surmenage de quelque organe, nous nous épuisons et nous faisons appel à la réserve. Si nous continuons de procéder ainsi, nous finissons jusqu’à ce que le sommeil nous gagne et nous apporte, en même temps que tout ce qu’il assure, un renouveau de puis¬ sance. Si, de nouveau, nous dépensons cette force perdue, dite de remplace¬ ment, plus vite que ne pouvons la pro¬ duire, la dépression survient. 11 s'ensuit que le système nervo-vasculaire se règle insuffisamment, ce qui cause la con¬ gestion des poumons et des autres Les excès épuisent la force nerveuse. par succomber,